[Vampire] Carmen BIANCONI

[Carmen Bianconi]

I – Identité

Nom :BIANCONI
Prénom : Carmen
Surnom : pas de surnom
Date et lieu de naissance :16 août 1966
Age réel: (depuis sa naissance à 2009)43 ans
Date de l'étreinte: 3 octobre 1992
Age vampirique: (de l'année de l'étreinte à 2009)17 ans
Race : Vampire
Secte : Camarilla
Clan : Gangrel
Humanité : (entre 0 et 10) 9
Nature et attitude : ((2 au choix, soyez cohérent)) enfant/inquisiteur
Disciplines acquises : (en fonction du clan, 3 avec 2 dons de niveau 1 au choix au commencement) endurance (1) protéisme (1) animalisme
Sire: (Indiquez le Prénom et Nom de celui qui vous a étreint)Maël O’REILLY
Serviteur: (Facultatif - Indiquez le nom de votre goule, si vous en avez une)
Statut : nouveau-né
Fonction : (Le métier de votre personnage dans la société actuelle, si vous en exercez un.) pas de métier, je vagabonde à mon gré. je travaille parfois comme videur ou garde du corps, la nuit seulement, sous prétexte que c'est mieux payé, histoire de payer mon essence...

II – Descriptions, Histoire & Relations

Description physique: (5 lignes complètes minimum)Brune aux cheveux longs, des yeux bleu-verts aux longs cils recourbés, des sourcils bien dessinés et un visage à l’ovale parfait, au teint légèrement halé par la vie au grand air, ainsi que des dents très blanches et bien alignées derrière des lèvres pulpeuses, mais pas trop. Carmen mesure 1,72 m pour 60 kg, svelte et athlétique, mais présentant des rondeurs très féminines au niveau des hanches et des seins.
Le regard est franc et rieur, vif et parfois un peu intrusif, ou interrogatif, dans ce cas, elle penche un peu la tête sur le côté, comme pour attendre une réponse, sans avoir à articuler une question. L’attitude générale est avenante quoiqu’un peu réservée. Les gestes sont naturels et précis. L’allure souple et élégante rappelle celle du loup. La foulée est longue et régulière. La voix est douce, rassurante et chaude. Quand au rire, il est semblable aux jeux des ruisseaux montagnards parmi les rochers (et très communicatif).
Description psychologique: (5 lignes complètes minimum) Carmen est d’un abord froid et distant, comme les gens de son pays natal, mais une fois son amitié acquise, rien ne peut la briser.
Elle fait confiance d’emblée (une fois franchit le premier pas) et est parfois déçue. Qu’importe, elle recommence, naïve, peut-être, enfantine, surement. C'est une idéaliste passionnée et aveuglée par le sujet du moment. Pourtant, si elle prend le temps d'analyser la situation, elle peut se révéler réfléchie et capable d'une fine analyse dans tous les domaines. Seulement, elle ne prend pas beaucoup le temps, sauf si quelqu'un l'oblige à le faire.
Elle aime tant ses amis qu’elle les place au-dessus d’elle, ce qui ne va pas sans poser problème. D’un naturel solitaire, elle aime pourtant les autres êtres vivants, sans faire de distinction entre eux (problème là aussi). Carmen aime depuis toujours les longues randonnées solitaire, à pied, à cheval, à ski, à moto, car ce sont d’elles qu’elle apprend le plus sur elle et sur autrui (hommes ou animaux).
Mais attention, elle s’emporte facilement et ses colères sont dévastatrices, comme celles d’un enfant, aussi les fuit elle de peur de voir apparaître sur son corps quelque trace d’animalisme, ce qu’elle craint au plus haut point, mettant un point d’honneur à ne pas succomber à la frénésie. Soupe au lait, ses amis la laisse donc exploser puis se calmer, avant de revenir vers elle, car elle attire inexorablement.
Elle déteste l’hypocrisie et la traitrise, qu’elle ne pardonne jamais.
Elle apprécie la franchise et la gentillesse.
Carmen, sans savoir pourquoi, a une peur viscérale des loups-garous depuis sa plus tendre enfance, faisant des cauchemars dans lesquels elle voyait sa propre transformation. Cette peur n’a fait que s’aggraver à force de regarder des épisodes d’une série B dont elle ne ratait aucun épisode, espérant chaque fois guérir de cette terreur. Peut-être était-ce prémonitoire, finalement, puisqu’elle est devenue Gangrel et risque des traces d’animalisme si elle se laisse aller à la bête en elle… alors, elle a peur. Elle espère trouver un jour l’équilibre qui lui permettra de vivre avec la bête en elle, qu’elle fuit actuellement en de longues méditations bouddhistes ou chrétiennes, en privations et en jeûnes, n’osant la regarder en face et moins encore l’affronter, de peur de perdre une humanité qui lui échappe de toutes façons.
Par ailleurs, elle adore les loups qu’elle aide parfois lorsqu’ils sont braconnés dans ses montagnes natales.
Histoire: (10 lignes complètes minimum)
Carmen a choisi ce nom après l’Etreinte, afin de couper le lien qui la reliait à sa vie d’avant. Elle garde précieusement au fond d’elle son nom de naissance, comme un trésor lui rappelant sans cesse qui elle était. Après une enfance libre et heureuse, entourée de l’affection des siens et de quelques amis indéfectibles, elle a abordé l’adolescence avec candeur. Mais, la vie au collège et au lycée, doublée de celle en internat, l’ont définitivement convaincue de la méchanceté et de la bêtise de la plupart des humains. Dès qu’elle le pouvait, elle s’échappait dans les montagnes et les forêts afin de communier avec la Nature. Ses lectures sur les Amérindiens et leurs liens privilégiés avec Notre Mère la Terre furent une révélation, ainsi que la découverte du Zen qu’elle s’appliqua à suivre de son mieux depuis l’âge de 16 ans. En revanche, elle abandonna rapidement la religion catholique et ce qu’elle estimait être des superstitions d’un autre âge, avec des jugements dépassés qui, entre autres, lui interdisait d’aller à la messe avec… son chien (elle ne cessa pourtant jamais de prier). Après tout, l’animal n’est-il pas une créature de Dieu ? Alors, pourquoi l’exclure… ? Pas de New Age pourtant, mais la ferme conviction que Voltaire avait raison à propos de Dieu : « il existe une horloge, donc il y a un horloger ». Deux livres ne la quittent pas : « Les Essais » de Montaigne et « Les contes » de Voltaire.
Après des études littéraires à la fac (cette période lui a beaucoup plu, à cause de la liberté qu’elle y a trouvé) elle a voyagé en Europe, aux Etats-Unis, Canada et Japon pendant quatre ans, vivant de petits boulots, avec des hauts et des bas financiers, mais sans mauvaise rencontre notable. Un petit tour chez les Lakota de Pine Ridge, une admission à une danse du soleil (privilège très rarement accordé à un blanc !), un nom indien signifiant « Femme Blanche qui parle aux chevaux », une traversée des Etats-Unis à moto, en solitaire la plupart du temps, parfois avec un motard qui souhaitait faire un bout de route avec elle. Des emplois de cow-boy, de serveuse, de femme de ménage, de prof de français (DESS de Lettres Modernes), elle a même travaillé sur les plates-formes pétrolières au large des Iles Britaniques ! Au Japon, ce fut le choc ! la découverte d’un monde nouveau à la fois lent et frénétique, traditionnel et avant-gardiste. De retour en Savoie pour assister à la mort et aux obsèques de sa mère, elle choisit de garder les vaches de sa tante quelques temps en alpages. L’année suivante, elle participa aux JO d’Albertville à sa manière, comme volontaire. C’est là qu’elle rencontra un soir un homme étrange, rustique et aux longs cheveux blancs, Irlandais d’après son accent, à la fois énigmatique et rassurant, distant et si proche, protecteur et enseignant, comme le père qu’elle n’a jamais eu (ses parents ont divorcé alors qu’elle avait six ans et elle n’a jamais revu son père, pas même une lettre de lui). Puis, il disparu de longs mois avant de réapparaître l’été suivant, à l’alpage. Il l’aidait du soir au matin dans les travaux relatifs aux vaches tarines, mais aussi lui enseignant tant de choses qu’elle découvrait avec lui, elle qui avait pourtant déjà tant observé. Ils avaient ensuite abordés les sujets concernant les phénomènes étranges, les fantômes et même les vampires ! elle avait bien rit, mais admis que la nature n’avait pas révélé tous ses secrets aux hommes et qu’il était possible que de telles créatures existent, qu’elles étaient une part de la Création. Cela avait bouleversé Maël, elle l’avait bien senti. Puis il s’était révélé dans sa véritable nature, sans qu’elle s’en effraya, habituée par sa présence et sachant déjà au fond d’elle-même qui il était, curieuse plutôt d’en apprendre plus sur lui. Elle finit par accepter de son plein gré et en toute connaissance de cause le Don Obscure. Cela se fit sans bruit et sans violence, dans la douceur du chalet d’alpage plusieurs fois centenaire qui sembla même approuver ce qui se passait… C’est du moins ce qui sembla à Carmen quand elle ouvrit ses yeux en un regard nouveau sur ce qui l’entourait. Ses chiens ne dirent rien non plus, mais les tarines eurent peur cette nuit là et s’enfuirent toutes. Elle quitta la Savoie, suivit son Sire sur les routes d’Europe, dormant là où ils se trouvaient, rencontrant d’autres Gangrels, mais aussi d’autres membres de la Camarilla. Maël n’aimait pas les mondanités. Il lui appris pourtant tout ce qu’elle devait savoir sur cette secte à laquelle son clan appartenait de fait, mais de loin. Ils évitèrent des loups garous, car Maël avait appris la terreur de son infant alors qu’il l’étreignait, mais pas toujours, afin qu’elle sache qu’elle pouvait se défendre. Inutile d’ailleurs de les tuer s’ils n’étaient pas fous furieux : les sentant, ils passaient en général leur chemin sans les inquiéter, ce qui ne lassait pas de surprendre Carmen. Ainsi, il était possible de coexister ? « pas toujours » avait sombrement commenté son Sire. Ils restèrent ensemble pendant deux ans, puis il l'émancipa et disparut. Elle ne l'a pas revu à ce jour et ignore où il se trouve. Maintenant, elle sillonne l'Europe sur sa Bandit 600 bleue métal, puissante mais pas tape à l'oeil, vêtue d'une combinaison de cuir et d'un casque intégral pour la route, de jeans quand elle est en ville. Elle ne passe pas des heures devant un miroir et reste très naturelle : jeans, chemises (parfois à carreaux, lol !), T shirts, baskets ou bottes, suivant son humeur. Parfois, elle rencontre d'autres vampires de la Camarilla, d'autres fois des humains à qui elle vient en aide, ou qu'elle console, comme çà, parce qu'elle aime çà. Elle n'a encore jamais rencontré de chasseurs de l'inquisition ou de vampires d'autres sectes et ne tient pas à essayer. Elle aime être tranquille (!) et ne veut pas se mêler de ces affaires. Pourtant, elle a aidé un Archon dans sa quête et a adoré çà ! mais, bon, çà veut dire servir la Camarilla, perdre de sa liberté,... faut pas que çà dure trop longtemps. Pourtant, quelle joie, quelle excitation que cette chasse : filatures, investigations, course poursuite,... tout y était. Mais, on n'a jamais vu un Gangrel nommé Archon, et ce n'est pas elle, nouveau-né, qui va briser cette tradition... quoi que ...
Relations avec les autres:
- Amis : humains ou non, pourvu qu’ils soient francs, ouverts et loyaux, Carmen est une amie fiable et recherchée.
- Amour : pas de recherche, pas de découverte… un jour peut-être ? en fait, Carmen a peur d’être prise au piège par l’amour. Ainsi, la liberté a un prix : la solitude.
- Ennemis : a priori, pas d’ennemi jusqu’à présent, même si elle se fait un festin des braconniers qu’elle surprend.

III – Vous

Votre prénom: Frederique
Votre age: 43 ans
Avez-vous déjà joué sur des forum RPG ?: non
Comment avez-vous découvert ce forum ?: recherche sur les vampires
Personnalité sur l'avatar: Meghan FOX

[Ancien]

Par les pouvoirs qui m'ont été confiés, moi, Ancien d'entre les Anciens, autorise Mademoiselle Carmen Bianconi, à franchir les portes de Paris.

Bienvenue et bon jeu.