[Vampire] Angeline DeLassare

[Angeline DeLassare]

I – Identité

Nom : DeLassare
Prénom : Angeline Marie
Surnom : Ange ou encore Line, mais très rares sont les personnes qui l’appellent par ses surnoms
Date et lieu de naissance : 21 juin 1780 au Palais de Versailles
Age réel: 228 ans
Date de l'étreinte: 14 février 1803 à Venise
Age vampirique: 205 ans
Race : Vampire
Secte : La Camarilla
Clan : Toreador
Humanité : 7/10
Nature et attitude : Chevalier / Organisateur
Disciplines acquises : Auspex(2), Présence(2), Célérité(2)
Sire: Raffael De Luca
Serviteur: Asher Johansson
Statut : Sénéchal de l’Elyseum de Paris, Primogène et Ancilla du Clan Toreador
Fonction : Conservatrice du musée du Louvre.

II – Descriptions, Histoire & Relations

Description physique: Angeline est une Toreador, et cela se voit. Elle porte extrêmement bien son prénom car elle est d’une beauté magnifique qu’elle cultive au fil des nuitées. Elle arbore une silhouette très mince, svelte et longiligne, qu’elle met le plus souvent en valeur avec un corset ou une tenue cintrée. Sa poitrine est très bien proportionnée, ni plus, ni moins, et tout les vêtements décolletés lui vont à ravir. Bien qu’Angeline soit vampire depuis plus de deux siècles, sa peau conserve une légère couleur rosée qu’elle lui donne volontairement. Elle n’aime pas vraiment avoir un teint pâle et blafard, et vu qu’elle est souvent au contact des mortels, elle préfère usé de ce stratagème pour éviter tout bris de Mascarade. Son visage, lui, semble être celui d’un ange. Des courbes parfaites, sans la moindre imperfection. Un nez aquilin parfaitement dessiné. Des lèvres finement ciselées, tendrement pulpées, que tout être rêverait d’embrasser. Des yeux verts en amande envoûtants qui ne laisse personne indifférent. Et pour sublimer le tout, une soyeuse chevelure châtain, légèrement ondulée, lui tombe avec grâce et élégance sur les épaules.

Description psychologique:
Angeline est une personne très calme, dotée d'une grande patience. Le fait de devoir travailler des heures, des jours voir des mois sur une oeuvre lui ont appris à ménager ses nerfs. Elle aime les discussions, les débats, la philosophie, si bien que quand elle est partit sur un sujet de conversation, difficile de l'arrêter. Non pas qu'elle soit bavarde, mais elle apprécie la compagnie des gens cultivés. Elle a tendance à être séductrice et épicurienne, aimant les plaisirs simples de la vie, ou plutôt non-vie. Angeline a beau être quelqu'un de très sympathique et profondément sociale, elle n'en reste pas moins Sénéchal. Elle sait mettre les points sur les "i" quand il le faut, n'ayant pas peur d'employer la manière forte. Elle sait être intransigeante, et quand elle donne un ordre ou une marche à suivre, elle ne revient jamais sur sa position.

Histoire:
Par une nuit de juin 1780, dans une France sous le règne de Louis XVI, un cri vint rompre le silence, celui d’un enfant venant au monde. La petite Angeline DeLassare était née dans une famille aisée, dont la mère fréquentait la cour de la reine Marie-Antoinette et le père des salons de discutions à Paris. La fillette grandit donc dans un environnement de luxe et d’abondance teinté d’un brin de philosophie et de morale. Elle devint rapidement la coqueluche de ces dames qui se mirent à la pouponner et lui apprendre les codes de bienséance, l’art de la blancheur de peau et des mouches, agrémenté de détours au petit Trianon… De quoi mettre des étincelles dans les yeux d’une enfant afin de ne point lui montrer la vie à l’extérieur du château. Mais son père ne l’entendit pas de la même oreille. Quand Angeline eut l’age de cinq ans, le second fils des dirigeants de France naquit. C’est lui qui devint le nouveau poupon de la cour. Le père de Angeline rapporta quelques feuillets de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert afin que sa fille se cultive d’autres savoirs que ceux de la couture ou de la musique. La fillette prit goût à la lecture si bien qu’elle enchaîna ouvrage sur ouvrage jusqu’au début de l’année 1789. En effet de nombreuses émeutes voyaient le jour ci et là à travers le pays et le Duc DeLassare en était un des fervents investigateur. Il préféra éloigner Angeline et sa femme de la cour royale afin de les éloigner du pire à venir. Mieux valait éviter de se montrer proche des monarques, surtout avec ce qui se préparer. Le 11 juillet de cette même année, le Duc se fit arrêté dans une auberge de Paris en pleine réunion et fit exécuté sur le champ par la Garde Royale. La Duchesse ne se fit pas prier. Elle prit sa fille avec elle, fuyant la France en direction de l’Italie.

Durant les quinze années qui suivirent, Angeline put continuer sa vie tranquillement et grandir dans un environnement un peu plus sain que celui de Paris. Elle continua à s’instruire, dévorant chaque livre qu’elle pouvait avoir sous la main. Elle visita de nombreuses villes comme Rome, Venise ou Milan et lors de ces expéditions, elle remplit nombre de carnets de voyage. Dessins, aquarelles, notes littéraires ou philosophiques… Bref, une œuvre d’art à eux seuls. C’est en 1803 qu’elle rejoint la Villa Médicis à Rome où certains lauréats français furent envoyer pour rénover la demeure et ses jardins qui étaient dans un triste état. La même année, durant une petite virée nocturne à Venise, lors d’un bal costumé et masqué, la jeune femme se retrouva à danser et à converser sur l’art avec un inconnu. La personne avait l’air de bien s’y connaître. Il lui parlait des grand peintre comme Poussin, David ou encore Ingres. Elle était impressionné, se plongeant seulement avec ses dires, à leur époque respective, comme si elle y était, tant les détails étaient précis. Ils passèrent de longues heures à discuter, à débattre, surtout la peinture, la sculpture, la littérature, le chant, la poésie, et toutes les formes diverses et variées de l’Art. Appréciant sa répartie, son engouement, son talent artistique qu’il a put observé par quelques toiles exposées dans la grande salle, ainsi que par sa voix si douce et si envoûtante et sa beauté naturelle, il préféra l’étreindre, immortalisant ainsi ce trésor qu’on lui offrait sous une apparence d’une jeune femme âgée d’une vingtaine d’année. Ses deux canines acérées s’enfonçant dans sa jugulaire... Prise de panique, la jeune femme se débattit, sentant sa vie s’échappait de son corps… Elle sentit également un liquide lui coulait dans la gorge… du sang… son esprit était déjà bien embrumé… Puis… Plus rien.. Le vide total…

Angeline se réveilla trois jour plus tard, dans un manoir italien, plongé dans la pénombre. En face d’elle se trouvait celui qui l’avait enlevé. Etait-elle morte ? Et pourtant, elle était bien vivante ! Serait-ce un mauvais tour ? Ne l’aurait-on pas droguer ? Ou bien… ne serait-ce pas le Seigneur ou le Malin qui s’amusent de sa personne ? Le jeune homme en face d’elle eut un sourire face à toute ces interrogations et lui expliquera qui il est et la nature de son geste. Tout d’abord choquée, elle préféra fuir le manoir, ne croyant pas aux dires du vampire… mais rapidement elle se rendra compte qu’il avait raison. La clarté de la lumière lui était devenu insupportable. Le lendemain, elle retourna au manoir, auprès de son Père, avec qui, elle entretint une relation étroite et ambiguë.

Après avoir reçu un enseignement vampirique digne de ce son, dut au statut de son SIre, Angeline accepta bien mieux sa condition et se prit au jeu de son nouveau clan. Elle décida de revenir à Paris en 1851. Quand Napoléon III monta sur le trône, elle en profita pour de venir honorer un titre de Duchesse italienne et intégrer la cour du nouvel empereur. Un nouveau petit jeu s'était installé, le jeu des bijoux. Les initiales de pierres que l'ont portées en parure formaient un mot et le but était de le deviner. Bien évidemment, Angeline, sourire aux lèvres arborait un sublime collier d'ambre, de nacre, de granit et d'émeraude. Elle devint une des plus fidèles courtisanes de l'impératrice Eugénie. Mais alors qu'elle riait à trouver les petits messages codés des autres dames, un collier attira son attention, celui orné de verre, díagate, de malachite, de pyrite, díivoire, de rubis et d'émeraude. Vampire... Qui aurait osé faire une telle chose... Un Camariste? Certainement pas, ou alors celui-ci était suicidaire. Non, il s'agissait d'un Lasombra qui la arguait clairement, lui faisant bien comprendre qu'elle savait qui elle était. Angeline, le soir même en avisa le Prince de la Camarilla, et l'affaire fut rapidement classée, prétextant qu'il s'agissait une machination visée à faire tomber l'empereur, et que ce complot avait été déjoué à temps. En 1870, il y eut une nouvelle guerre contre la Prusse. Défaite sur défaite, l'empereur capitula et la IIIe république fut instaurée. La jeune femme fut définitivement désintéressée par la politique au profit des arts. D'ailleurs, chez les Toréadors, elle est connu sous le nom de "la Gardienne des Arts", prête verser le sang pour protéger et conserver n'importe quelle forme d'art pour l'éternité.
C'est également vers ces années là que commença le mouvement des impressionnistes. Angeline y adhéra, laissant de nouveau voguer son esprit créatif sur la toile. En s'approchant du XXe siècle, son style évolua vers l'Art Nouveau. Elle fit de nombreuses affiches pour des pièces de théâtres, des opéras et autres publicités. Elle fut une fervente admiratrice du belge Victor Horta. Une nouvelle guerre explosa et Angeline se fit plus discrète, préférant fuir vers l'Italie, au palais Camariste de Venise, où Raffael en était devenu le Prince. Après ce conflit, en 1919, la jeune femme partit en Allemagne, plus précisément à l'institut des arts et des métiers du Bauhaus. Elle y fréquenta Kandinsky, Klee, Meyer et Van der Rohe. Mais alors qu'une nouvelle guerre se profilait à l'horizon, la plupart des membres de l'établissement s'enfuirent aux Etats Unis.

Elle resta près d’une dizaine d’années à Chicago, avec ce qu’elle avait accompagné, continuant à développer son art. Puis, préférant caché sa vraie nature é éviter de montrer le fait qu’elle ne subissait pas les dégâts du temps, elle descendit sur New-York et entra dans une école d’Art. Elle se mit à arpenter les nombreux musées de la ville comme le MoMA ainsi que les nombreuses expositions, imprégnant de toute la culture outre atlantique. Les premiers temps, elle travaillait comme serveuse pour un grand café-théâtre de Broadway. Mais après quelques chansonnettes poussées en servant ses clients, Angeline fut remarquée pour sa douce voix et monta sur les planches pour une petites séries de Music Hall. S’en suivit les années Pop Art, l’inauguration du Guggenheim Museum, l’Optic Art, le nouveau Réalisme, l’Art corporel, le Land Art, l’Art numérique… et le nouveau millénaire. L’avènement de l’informatique lui fit grandement apprécier les nouveaux médias, si bien que rapidement, elle se mit à utiliser les logiciels d’infographie.

Lors d'un vernissage en 1995 au MoMA, la jeune femme fit la rencontre d'un certain Asher Johansson. Rapidement, elle en tomba sous le charme, ce qui était un comble pour une vampire dégageant tant de charisme et de beauté. Elle décida de prendre son numéro afin de lui proposer d'être son modèle pour une toile qu'elle souhaitait réaliser. Savourant chaque image de son poseur, elle abandonna très vite sa toile pour finir dans les bras du jeune américain. Et ne voulant pas que son charme se fane, elle décida de le transformer en goule (qu'elle ne traitera pas du tout comme tel)

En 1998, elle quitta les Etats Unis pour retourner en France, et plus précisément à Paris. En effet, le nouveau Prince de Paris, François de la Fresnaye, avait eut échos de ses talents en tant que Toréador, et lui proposa de s'occuper de l'inauguration de la Coupe du Monde de Football. Vu le succès que cela avait eut, le Prince décida de la nommer Sénéchal. Il savait qu'il pouvait avoir confiance en elle, sans avoir la moindre crainte.

Angeline en profita pour visiter Versailles, là où elle avait grandit, lors d’une soirée nocturne. Tout lui parut à la fois inchangé malgré le temps… et pourtant si différents, avec tous ses touristes. Elle continua son chemin et se rendit au musée d’Orsay, puis au Louvre dont elle tomba sous le charme, pour finir à la butte Montmartre où elle dénicha un petit atelier pour pouvoir continuer à travailler. Angeline parvint à devenir conservatrice du Louvre. Son relationnel avait sûrement été pour quelque chose là dedans. Elle fit passer son vampirisme pour la maladie très rare appelée "Xeroderma Pigmentosum" (une personne touché par le Xeroderma Pigmentosum est surnommé "Enfants de la Lune" car il ne doit pas s'exposer au soleil sous peine de provoqué un cancer de la peau), ce qui en soit, était une assez bonne couverture.

En 2006, lors d'un défilé de mode, Angeline fit la connaissance d'un jeune styliste nommé Haku Akebono. Elle adora son style et, touché par son talent et par sa jeunesse, elle décida de le prendre sous son aile, comme s'il s'agissait de son propre fils, lui accordant l'étreinte comme pour lui offrir l'éternité pour peaufiner son art.

Relations avec les autres:
Amis :
- Amis est un bien grand mot. Disons qu'elle s'entend bien avec Nesseria Adent ainsi qu'avec les autres vampires de hauts statuts de la Camarilla de Paris.
- Elle apprécie également Haku Akebono, son Infant, qu'elle considère un peu comme son propre fils.

Amour :
- Angeline entretient des liens très étroits avec plusieurs personnes. Elle n'est peut être plus sous la tutelle de son Sire Raffael De Luca, mais lui et elle sont encore extrêmement proches, si bien que l'on peut affirmer qu'il s'agit d'amour entre eux et cela depuis plus de 200 ans. Tous deux ont passé un accord : quand ils sont ensembles, rien ni personne ne peut les atteindre, mais quand ils sont loin l'un de l'autre, chacun même la vie qu'il souhaite, sachant que rien ne pourra interférer dans leur amour, un lien de sang très puissant les unissant jusqu'à la mort.
- Angeline est également très proche de sa goule, Asher Johansson. Elle ne le traite en rien comme un serviteur, mais plutôt comme un amant en qui elle est très attaché. Elle préfère lui laisser la réflexion de devenir vampire ou non, avec les avantages et les inconvénients qu'importerait sa nouvelle condition.
- Angeline entretient aussi une relation assez ambigüe avec son Altesse François De La Fresnaye. On ne peut pas vraiment de liaison amoureuse, sachant qu'il ne s'est jamais rien passer entre eux, mais plus d'un jeu de séduction et de manipulation dont la vampire est très friande.

Ennemis :
- Le Sabbat
- Les Lupins
- Les Chasseurs
- L'Inquisition

III – Vous

Votre prénom: Cynthia
Votre age: 21 ans
Avez-vous déjà joué sur des forum RPG ?: Bien évidement
Comment avez-vous découvert ce forum ?: par l'intermédiaire de l'Ancien
Personnalité sur l'avatar: Kate Beckinsale

[Ancien]

Par les pouvoirs qui m'ont été confiés, moi, Ancien d'entre les Anciens, autorise Madame Angeline DeLassare, à franchir les portes de Paris.

Bienvenue et bon jeu.