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[Humaine] Anju Kiyoshi

2 participants

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[Humaine] Anju Kiyoshi Empty [Humaine] Anju Kiyoshi

Message  Anju Kiyoshi Jeu 19 Fév - 22:43

I – Identité


Nom : Kiyoshi
Prénom : Anju
Surnom : An-chan
Date et lieu de naissance : 2 octobre 1991 sur l’île d’Okinawa au Japon.
Age :17 ans
Race : Humain
Nature et attitude : Ange Gardien/Enfant
Fonction : Lycéenne – Inscrite dans une chorale
Connait-il l'existence des Vampires et des Lupins ?: Non.
De quelle catégorie fait-il partie ? : Des mortels.
Discipline acquise : Aucune.


II – Descriptions, Histoire & Relations


Description physique: Anju est une jeune japonaise de petite taille. En effet, mince, elle mesure 1m58 pour 48 kg. Elle est brune avec des mèches châtains claires et elle possède une chevelure soyeuse et raide qui arrive jusqu’à sa poitrine. Son visage est, quant à lui, très fin. Ses yeux bridés de couleur marron dessinent un regard tantôt coquet, tantôt innocent. Elle porte souvent des habits de couleur pastel.

Description psychologique: Voici une fille bien généreuse ! Très dynamique, quand elle aide quelqu’un, elle donne tout ce qu’elle a. De nature optimiste, elle continue à persévérer et à croire en l’espoir. Elle sait qu’il ne faut rien attendre en retour bien que parfois, il lui arrive de vouloir être récompensée pour ses efforts.

Elle déteste le mensonge. Pour elle, il n’y a rien de plus incroyable que de pouvoir faire confiance à autrui. Si quelqu’un venait à la trahir pour une raison non valable, elle sera si blessée qu’elle ne voudrait même plus revoir le visage de cette personne sous peine de se rendre compte à qu’elle point elle a été bien naïve.

Compréhensive, elle se lie sinon souvent à la cause des faibles et elle est facilement influençable. De plus, dès qu’elle a pris une décision, il est difficile de lui faire changer d’avis.

Sinon, c’est une pure rêveuse. Elle croit encore en l’amour pur et sincère et au prince charmant sur son destrier.

Histoire:

LE JAPON…
Le 2 octobre 1991 : N’ayant pas encore d’enfant, les Kiyoshi, famille d’agriculteur retirée à la campagne, allait enfin accueillir un nouveau membre : Anju. Pour information, Madame Kiyoshi venait de la ville, quant à Monsieur, c’était un pur rural ! Les radoteurs remettaient d’ailleurs en question la formation d’un tel couple. Anju, bien trop jeune pour s’en soucier, pensait à l’école primaire : Elle avait rencontré ses premiers amis ! De quoi être enthousiaste ! Bien que la campagne ne proposait pas d’énormes activités de loisirs, ensemble, ils trouvaient toujours quelque chose pour s’amuser de leur journée.

A huit ans, elle avait découvert son amour pour le chant en ayant rejoint la jeune chorale de l’école. Etonnant pour son âge, sa voix se démarquait incontestablement de ses camarades : timbrée, elle vibre sans effort. Le plaisir de chanter, c’est ce qu’on ressentait en l’écoutant. Son corps devenait le son et le son nous emportait avec elle. La petite avait d’ailleurs une aspiration à devenir chanteuse. Elle y travailla avec beaucoup de persévérance sous les encouragements de son père qui lui répétait sans cesse :
« Tu vois cette chanteuse dans l’émission. Si tu veux devenir comme elle, il suffit juste d’une volonté et de la persévérance. Nous sommes tous des êtres humains. Si elle peut le faire alors toi aussi. »

A douze ans, Anju dût s’installer chez une de ses meilleures amies qui avait déménagé près d’un collège, pour assister à son nouveau cursus scolaire 2003/05. De ce fait, elle ne rentrait plus que les weekends. Mais sans qu’elle s’en aperçoive, les liens de la famille devenaient peu à peu fragiles.

Cinq ans passèrent. Alors que la jeune Kiyoshi réussit sa deuxième année au lycée, voilà qu’une triste nouvelle bouleversa sa vie : ses parents divorçaient pour la raison que sa mère ne voulait plus labourer les champs et continuer à vivre suivant la tradition où la femme japonaise n’avait pas le droit de s’exprimer au sein de la famille. La jeune fille aimait aussi bien sa mère que son père. Il lui fut impossible de vivre sans l’un des deux. Toutefois, son père consentant, elle dût suivre sa mère en France. Cette dernière avait le projet de fonder une nouvelle famille avec un français exerçant un métier dans la chirurgie esthétique. Attristée de devoir quitter son tendre père, la jeune japonaise lui promit de venir lui rendre visite dès que possible. Ce fut la dernière fois qu’elle vit son sourire avant d’embarquer dans l’avion pour Paris.



BIENVENUE EN FRANCE…
Paris… la ville dont rêvent les japonais. L’art, la gastronomie, un océan de source d’inspiration, de merveilles, de richesse ! Et Anju se trouvait dans le 16ème arrondissement ! En revanche, un sentiment de froid pénétra son cœur quand elle mit les pieds sur ces terres. Où était le vieil aimable marchand de journaux, la robuste vendeuse de l’épicerie du coin, l’espiègle ami qui tenait un petit bazar ? Ce n’était plus son île. Toutefois, éblouie par ce qu’elle allait voir, sa tristesse s’évaporait. En effet, quel grand appartement ! Elle vivait au troisième étage. Comme une jeune paysanne, elle était toujours fascinée par l’ascenseur. Au Japon, elle ne l’utilisait qu’occasionnellement quand elle allait faire les lèche-vitrines avec sa meilleure amie. Voilà que l’ascenseur était à sa disposition. Et la salle de séjour, la salle à manger, la salle de bain ! Tous si spacieux ! Elle aimait particulièrement sa chambre avec ces murs recouverts de la tendre couleur qu’est le lilas. Ce n’était certes, plus sa minuscule maison animée des campagnes où l’on mangeait parterre, où les planchers en bois vibraient sous la pression de nos pieds, où sans forcer le timbre et sans articuler, nos mots atteignaient facilement les oreilles situées dans l’autre pièce. Son nouveau foyer lui rendit cependant un peu de chaleur par ses tons chauds et cela lui suffisait pour retrouver sa bonne humeur.

Voyant son niveau en français, elle qui venait de sortir d’un système scolaire étranger, on ne lui permit pas d’aller directement en terminale. Elle suivait alors des cours en 1ère ES puisque Madame Kiyoshi refusa la voie de la littérature que son enfant aurait bien aimé choisir. A dire vrai, sa mère voulait qu’elle travaille dans la fonction publique qu’elle considérait plus stable que les métiers de l’Art. La jeune fille bouda pendant un bon moment jusqu’à ce que sa mère lui proposa de rejoindre une chorale pour la réconforter. Cela avait d’ailleurs bien marché puisque cette dernière, si enthousiasme à l’idée d’exercer sa voix, oublia tout son chagrin !

Bon d’accord, elle avait quelques notions en français grâce à ses études dans l’Archipel du Japon. Puis notons aussi que son futur beau-père Thomas parlait le japonais d’un bon niveau et celui-ci l’assistait de son mieux. Cependant, ce n’était pas assez. On décida qu’il serait préférable qu’elle suive des cours de français pour étranger en plus de ses études. Ainsi, avec des horaires aménagés pour la section ES, le lycée Passy-Saint-Honoré proposait à ses élèves, des cours tous les matins du lundi au samedi, de 8h30 à 13h. Et chaque après-midi, du lundi au jeudi, elle assistait à des cours de français. L’exception à la règle fut le mercredi où elle finissait plus tard car avaient lieues les répétitions de la chorale où elle appartenait, dont le nom était « Des milliers de Rêves, Un millier de Cœurs ». Cette dernière proposait à l’écoute des mélodies gaies, nostalgiques, douces et apaisantes. Quand arrivait la fin de sa journée, Anju avait pour habitude de prendre le métro pour rejoindre son lieu de résidence. On venait la chercher occasionnellement.

Des mois après, un beau mercredi soir, quand elle eut fini la répétition, un heureux événement se produisit : le chef de la troupe lui proposa une place de très grande importance, mentionnant qu’elle possédait des qualités exceptionnelles pour le devenir : Soliste. Ses efforts furent récompensés ! Acceptant avec grande joie la proposition, elle marcha aussi vite qu’elle put pour rejoindre le métro en appelant sa mère de son portable pour lui annoncer la nouvelle. Mais en raccrochant, elle n’eut guère de chance : un groupe de délinquants traînaient dans les escaliers de l’entrée du métro. L’un d’entre eux fit des propos vulgaires et obscènes à la jeune fille effarée quand elle fut attrapée par les bras et qu’on voulut lui ôter son sous-vêtement en commençant par soulever la jupe. Elle bougea, gigota, se débâta, et à chaque fois qu’elle luttait, elle se fit frappée en retour. Même en criant, les quelques vieux passants ne furent rien pour la secourir. Elle mordit alors, mais la réplique fut plus douloureuse cette fois-ci : elle reçut un violent coup dans la figure. Ils étaient trop nombreux et trop forts pour elle. Désemparée, des larmes coulèrent.

*Papa, maman…*
N’ayant plus de force, bien que son cœur battait d’une force extrême, ses bras étaient raides et son regard s’affolait en entendant des ricanements de tout part. Quand soudain, plus une seule activité, plus un seul bruit. Elle sentit le voyou derrière elle la lâcher, ce qui provoqua sa chute sur les genoux. Mais cette dernière, toujours immobile, continuait à fixer le sol, le regard apeuré. Elle sentit alors une main s’approcher de son visage. Prise d’une horrible angoisse, elle frappa plusieurs fois devant elle et griffa par mégarde l’étrange personne qui lui tint ses poignées et murmura des mots d’assurance et de réconfort. En reprenant ses esprits, elle discerna peu à peu le visage de cette personne qui sembla lui venir en aide. Tout comme elle, il avait des yeux bridés et des traits de japonais. Elle avait l’impression d’avoir retrouvée ses terres natales. Et d’un sourire, bien qu’elle n’eut pas remarqué qu’il lui avait parlé en français, elle lui dit d’une faible voix « merci » dans sa langue maternelle avant de s’évanouir.


Un plafond blanc…
A son réveil, elle vit sa mère à ses côtés, tenant chaleureusement sa main. A peine avait-elle pu se demander où elle se trouvait et de prononcer le seul mot
« maman » qu’elle entendit sa mère lui poser des tas de questions : « Chérie, comment te sens-tu ? Est-ce que ça va mieux ? Est-ce que tu as mal quelque part ? Est-ce qu’on t’a fait du mal ? Est-ce qu’on t’a touché ? »
La petite Kiyoshi balaya la pièce du regard et s’arrêta lorsque la mère lui fit savoir qu’elle se trouvait à l’hôpital. Elle se souvint alors de son agression. Mais elle essaya de ne pas se remémorer sous peine de revivre ce pénible moment! Elle observa sa mère inquiète. Primordial ! D’un sourire, Anju la rassura en se redressant d’un coup et en agitant les bras pour montrer qu’elle n’avait rien. Madame Kiyoshi reprit son souffle et sembla se calmer. « Je suis contente que tu n’aies rien ma chérie, fit-elle en prenant sa fille dans ses bras. J’ai eu tellement peur quand Thomas m’avait annoncé que tu étais à l’hôpital. Qu’est-ce qui s’est passé ? On t’a agressé dans la rue ? ».
La fille n’eut pas voulu en parler. Son futur beau-père arrêta l’interrogatoire de sa mère et parla d’autre chose.

Annonçant qu’elle n’avait rien de graves à part des bleues, on permit à Anju de rentrer chez elle le soir. Dans son lit, le calme lui fit songer. En effet, elle se souvint du visage du garçon qui l’avait aidé pendant cette horrible nuit. Mais en se jetant sous la couverture et en se recroquevillant sur elle-même, elle tenta d’oublier les mauvais souvenirs par le sommeil.

Quelques semaines passèrent. Personne ne lui reparla de ça. Et puis, était-ce un rêve ou la réalité ? Avoir pu penser qu’un japonais était venu la sauver lors de cette nuit était finalement tiré par les cheveux ! Etait-ce parce que son pays lui manquait trop ? Il fallait qu’elle arrête d’halluciner ! Elle finit alors par tourner la page.
D’ailleurs, au nouvelle, il y avait la demande en mariage de sa mère. Mais malgré que l’adolescente appréciait bien Thomas, elle ne put accepter que sa mère se remariait. Elle eut envie de retourner vivre au Japon. Il avait fallu du temps pour que cette dernière daigne se calmer. C’était surtout grâce à la réponse de son père suite à sa lettre que, réconfortée, elle prit une décision. Tant que sa mère était heureuse, tout irait pour le mieux. Mais en contrepartie, Anju ne souhaitait qu’une seule chose : garder le nom des Kiyoshi.



Relations avec les autres:
- Amis : Le garçon qui lui porta secours ?
- Amour : /
- Ennemis : /

III – Vous


Votre prénom: Céline
Votre age: 19 ans
Avez-vous déjà joué sur des forum RPG ?: Oui.
Comment avez-vous découvert ce forum ?: Par Stephouuu~
Personnalité sur l'avatar: Erika Toda
Anju Kiyoshi
Anju Kiyoshi
Humain
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Nombre de messages : 29
Age : 34
Age du personnage : 17 ans
Date d'inscription : 19/02/2009

Feuille de personnage
XP:
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Disciplines acquises:

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[Humaine] Anju Kiyoshi Empty Re: [Humaine] Anju Kiyoshi

Message  Ancien Ven 20 Fév - 0:49

Par les pouvoirs qui m'ont été confiés, moi, Ancien d'entre les Anciens, autorise Mademoiselle Anju Kiyoshi, à franchir les portes de Paris.

Bienvenue et bon jeu.

Ancien
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Date d'inscription : 25/11/2008

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